Lorsqu’on a soixante-sept ans, qu’on est une femme et qu’on tient un beau petit salon de coiffure dans une ville tranquille, il est vraiment désagréable d’être embarquée par deux policiers devant toute sa clientèle. Mais quand, peu après, quelqu’un vous met sous les yeux la photo d’un homme à demi carbonisé et vous accuse de l’avoir assassiné à coups de
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couteau avant de mettre le feu à son cadavre, il y a de quoi perdre la tête. C’est mal connaître Suzie Berton. Femme d’action, partie de rien, bondée contre le malheur. Quarante-huit heures de garde à vue: c’est le délai dont dispose le commissaire Ferran pour lui arracher les aveux.
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