J’ai plusieurs réalisateurs cultes dans ma vie. David Fincher, Tim Burton, Martin Scorsese… Danny Boyle. Danny Boyle et sa maîtrise de l’image, son génie de la mise en scène, Danny Boyle et ses films qui ont marqué toute une génération, de Trainspotting à Petits meurtres entre amis en passant par 28 jours plus tard. Et après avoir fait dans le social, l’humour noir et le zombie, Danny Boyle rayonne pour sa première incursion dans la science-fiction grâce à son Sunshine. Alors, forcément, se retrouver devant quelqu’un que l’on suit depuis des années et que l’on respecte au plus haut point pour parler d’une véritable bombe visuelle qui m’a particulièrement troublé… Forcément, les jambes tremblent un peu et les mots in english se bousculent beaucoup. Et pourtant.
Incroyablement sincère, ouvert, chaleureux, Danny Boyle, un immense sourire aux lèvres, met à l’aise dès la première seconde. On aimerait parler avec lui des heures… Malheureusement le temps passe si vite parfois ! Juste le temps de parler de son superbe film, de la NASA, de l’espace, de la gravité et du Soleil de sa vie… Et c’est déjà fini ! J’ai voulu toucher le soleil et me voilà dans les nuages… Le jeu de mot est facile… Mais Danny Boyle a bel et bien ensoleillé ma journée !
=> Découvrez notre interview ensoleillé de Mister Danny Boyle...
A.M. (11 avril 2007)