Ils sont cinq : Perozzi, l’imprimeur, Melandri l’architecte, le noble déchu Mascetti, le chirurgien Sassaroli et enfin le barman Necchi. Ce ne sont peut être pas des vitelloni, en tout cas ce sont des amis. Mes chers amis se situe aux confins de la comédie de mœurs et de la comédie désespérée. Mes chers amis ou comment apercevoir sur nos
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écrans le dernier aveu : "Nous sommes convalescents, nous récupérons lentement d’une longue maladie qui s’appelle la jeunesse."
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